[PIAS] Nites sera de retour à La Maroquinerie le 27 novembre pour une soirée dédiée au jazz avec Kyle Eastwood et Jowee Omicil !

Kyle Eastwood (USA) :
Depuis son apparition sur la scène jazz internationale au milieu des années 90, c’est avec un mélange bien à lui d’indépendance, d’élégance, de ténacité et d’humilité que Kyle Eastwood a entrepris de tracer son propre chemin dans le foisonnement des genres et des styles constituant désormais cette musique. Après avoir fait paraître en 1998 un tout premier disque intitulé “From There to Here”, où s’affirmait avec éclat et sans la moindre distanciation maniériste son amour et sa connaissance intime de l’âge d’or du jazz orchestral des années 50, le contrebassiste, alors tout juste âgé de 30 ans, a ressenti le besoin de se détourner un temps de ces références si magistralement posées dans ce disque aux allures de manifeste, en aventurant son univers tout au long de la décennie suivante dans des projets hybrides et subtilement trans-genres, flirtant, au gré d’albums aussi éclectiques que raffinés, avec l’électro-jazz cool et sophistiqué, le smooth jazz aux accents « seventies » et résolument groovy, voire piocher dans le “arty”, chic, urbain et métissé.
Kyle Eastwood est de retour avec "In Transit", qui s’inscrit sans ambiguïté dans cette continuité pour mener l’ensemble encore un peu plus loin dans le sens de la cohésion organique et de la création ”partagée“.

Jowee Omicil (CA) :
Né à Montreal, très tôt Jowee Omicil se fait l’oreille en écoutant les aînés. Les combos tutélaires de compas et de cadence qu’il entend dans les fêtes de la communauté. Aujourd’hui, c’est à Paris qu’il se retrouve, tel qu’en lui-même. Le boulimique de musiques doublé d’un insatiable voyageur y assouvit son appétit. Toutes les saveurs, tous les ingrédients se manifestent ici. Là, il trouve la matière première pour élaborer le total mix qu’il a en tête, sans perdre ce qui fonde son discours.
Avec "Let’s just basH!" il place d'emblée l’ambiance « Positive stylée », comme on dit en Jamaïque. C’est donc ainsi que Jowee Omicil a baptisé son nouveau disque, en référence aux « bash parties », les fêtes joyeuses outre-Atlantique : Il faut tourner le négatif en positif, comme le « bad » de Michael Jackson. Pas de doute, Jowee Omicil est à l’image de son nom : il ne ressemble à personne.

INFOS PRATIQUES :
La Maroquinerie
23 rue Boyer
75020 Paris

Tickets : http://bit.ly/2yY8gqb